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Histoire
John Welles
Angélique Réaume
et
James Kent
Agent seigneurial de Sorel
Par
Louise Pelletier
recherchiste et historienne
John Welles est né en Angleterre. Il est cité comme marchand à Montréal au recensement des protestants du District en 1765. John Welles se marie à Marguerite Rhéaume fille de Charles Auguste et Marie Angélique Lebel, le 15 mai 1770 à l’église protestante de Montréal. Après un certain temps, la famille quitte Montréal pour aller demeurer à l’Ancienne Lorette près de la ville de Québec. John Welles est décédé au fort Albany New-York, 8décembre 1780. De cette union un seul fils est né John Kent Welles.
Dans l’histoire populaire du Québec écrit par Jacques Lacoursière à la page 376, on retrouve le nom John Welles parmi les signataires se qui se plaignent de manque d’écoles et de séminaires protestants nécessaires à l’éducation et de l’instruction de la jeunesse anglaise. Ils doivent faire face à l’alternative suivante : ou laisser leur enfant sans instruction ou les envoyer dans les écoles tenues par le clergé catholique, avec l’assimilation que cela comporte ! Un comité est formé l’année suivante à Montréal en 1765.
Dans le dictionnaire biographique du Canada, on dit que John Welles est associé avec Benjamin Frobisher « Frobisher a été soutenu à Halifax, Angleterre. Il a émigré au Canada où il a été impliqué dans fourrure-commercent dès 1765, dans l’association avec John Welles. Plus tard lui et ses frères, Joseph et Thomas, ont été associés à James McGill. Il s’avère qu’il s’est occupé de la fin de Montréal des affaires de Frobisher et de Cie., dans l’association avec ses frères et n’est jamais allé à l’ouest de Portage grand. Il est mort dans Montréal».
Dans le dictionnaire biographique du Canada, on dit que John Welles faisait parti d’une entreprise « En 1766, Allsopp et Jacobs s’étaient associés à John Welles, sous le nom de Jacobs, Welles and Compagnie, pour l’exploitation de la potasse dans les anciennes forges royales de la basse ville de Québec, qu’ils louèrent de la couronne. L’entreprise fut bientôt ébranlée par des problèmes techniques et administratifs ; elle croula en 1772, mais sans pertes graves pour Allsopp».
Dans les documents constitutionnels parlementaires qui sont conservés aux archives à Ottawa. John Welles est mentionné à plusieurs reprises dans plusieurs lettres du comité à Maseres d’un projet de pétitions que les habitants anglais ont décidés de présenter au lieutenant gouverneur pour convoqué une assemblée, le 8 novembre, 22 novembre et le 31 décembre 1773 dans la ville de Québec. Dans un autre document de Carleton à Darmouth, John Welles est membre d’un comité de 7 personnes de sujets britanniques assisté du commissaire Walker, le 12 novembre 1774 à Québec.
Dans le dictionnaire biographique du Canada, on dit que John Welles loyaliste s’enfuit aux États-Unis «Après l’arrivée des Américains à Montréal, le loyalisme de Sanguinet et de sa famille est source de tracas. Au début de janvier 1776, le général de brigade David Wooster décide l’arrestation – qui n’aura finalement pas lieu – de dix notables montréalais, dont Christophe, Joseph et Simon Sanguinet. En mars, Simon fait circuler une lettre virulente aux « Habitants du Canada », « peuple ingrat » qu’il invite à chasser les « brigands » américains. Il cherche également à informer Carleton de la situation qui prévaut à Montréal en lui envoyant des émissaires, notamment son jeune beau-frère, Charles Rhéaume, qui est fait prisonnier. Il finit par se rendre lui-même à Québec, à la mi-mai, en compagnie de sa belle-sœur Marguerite Réaume dont le mari, John Welles, s’enfuit, pendant ce temps, avec les Américains qui évacuent Montréal».Il s’exile au fort Albany New-York avec les loyalistes.
En 1779, John Welles est associé avec les navires marchands de la compagnie Watson & Rashleigh (Brook Watson et Robert Rashleigh) à destination de l’Angleterre et de l’Espagne. Il importe en échange diverses marchandises de l’Europe telles des spiritueux et des produits d’usage domestique. Dans une lettre écrite par John Welles datée du 17 septembre 1779 du fort Albany au sujet des marchandises et des chevaux manquants pour les soldats de la garnison. (Archives Nationales du Canada) Une autre lettre adressée à Samuel Huntingdon du 25 novembre 1780 du fort Albany signé John Welles et Edward Chinn. (Foonote.com)
Dans un inventaire après décès de la succession de feu John Welles et de la communauté avec Angélique Réaume sa veuve, 13 octobre 1781. «Dame Angélique Réaume veuve de Monsieur John Welles négociant demeurant à l’Ancienne Lorette tant en son nom à cause de la communauté des biens qui a été entre elle et son nom et le sieur son mari sauf à elle à accepter icelle ou y renoncer que comme tutrice élue en justice le 9 octobre à John Kent Welles son fils unique issu d’icelle et du dit sieur John Kent Welles habile à se porter seul héritier du feu sieur son père. Nous notaires publics en la province de Québec y résident soussignés nous sommes transportés en la demeure de ladite dame veuve Welles à l’Ancienne Lorette où étant en présence du sieur Amable Réaume demeurant à Québec oncle et subrogé tuteur dudit sieur John Kent Welles mineur et nommé par la cour… Une lettre signée Watson et Rasleigh daté de Londres du 2 avril 1781 adressée à Madame Welles avec une copie par un envoyée de la lettre à un écrit par Monsieur William McCarty son beau frère datée d’Ostend 26 février 1781 qui annonce que Monsieur John Welles est décédé à Albanie le 8 décembre 1780». Notaire A Panet
Après le décès de John Welles sa veuve Angélique Réaume se remarie avec Samuel Phillipps greffier de la chambre de l’assemblée provinciale le 17 mars 1782 à la cathédrale anglicane Holly Trinité de Québec. Aucun enfant n’est issu de ce mariage. La Gazette de Québec nous apprend, le 6 juin 1782, que Samuel Phillips est assistant maître de poste. Ses affaires continuent à prospérer, ainsi, il achète une autre terre d’un habitant de Charlesbourg. En 1786, le même journal annonce qu’il a une propriété à vendre ou à louer à L’Ancienne-Lorette. On apprend aussi qu’il est nommé, le 24 juillet 1786, « Inspector of Flour and Biscuit for Province of Québec ». Le 17 mai 1787, il accéda à la fonction de grand juré à la Cour du banc du roi 15 et, le 26 juillet de la même année, on annonce sa nomination au grade de lieutenant de milice. Il est promu capitaine en octobre 1794. Le recensement de Québec de 1795 nous apprend qu’il habite le 10, rue de la Fabrique. Au recensement de 1805, on découvre qu’il a déménagé au 19, rue Sainte-Anne (aujourd’hui 105 rue Ste-Anne). Toutefois, il conserve une résidence de campagne à l’Ancienne-Lorette. Le 3 février1808, il quitte la Chambre définitivement pour laisser la place à William Lindsay comme député et nomme son beau-fils John Kent Welles comme assistant du Député du greffier de la Chambre. Au début de 1808, la santé du greffier s’est détériorée; sa maladie est signalée dans les procès-verbaux de l’Assemblée. Il meurt le 6 août 1808 et, deux jours plus tard, il est enterré, sans doute dans le cimetière Saint-Mathieu sur la rue Saint-Jean. Parmi les témoins qui signent l’acte de décès, il y a son beau-fils, John Kent Welles et ses neveux William Phillips et Robert Morrogh, son beau-frère Thomas Scott.
Après la mort de Samuel Phillips, le notaire Jean Bélanger procéda à un inventaire de ses biens. Ce document est fort intéressant. Même si nous ne pouvons pas énumérer dans cette courte étude la longue liste des biens immobiliers, des terres à L’Ancienne-Lorette et dans les Cantons de l’Est, des meubles de valeur et de l’argenterie de la maison de la rue Sainte-Anne, le document donne l’impression qu’il était riche. Cependant, les biens sont vendus aux enchères et les dettes de la succession seraient très importantes. D’ailleurs, le 8 février 1819, l’épouse de Phillips’, Angélique Reaume Welles présente à la Chambre d’Assemblée une requête pour obtenir une pension. On y lit que « le modique Salaire qui était alloué audit Samuel Phillips, Écuyer, ne lui a pas permis de laisser à la Pétitionnaire un revenu suffisant pour ses besoins ». La requête est référée à un comité de la Chambre. Le 3 janvier 1821, la même requête est représentée. Il ne semble pas qu’une suite ait été donnée à cette demande de la veuve. (Samuel Phillips premier greffier de l’assemblée nationale par Jean-Guy Pelletier Bureau du deuxième centenaire Bibliothèque de l’Assemblée nationale)
La veuve Angélique Réaume Welles Phillips a quitté la ville de Québec pour s’établir définitivement à William Henry (Sorel) en 1818. «Dans une lettre mandatée par dame veuve Angélique Réaume Welles Phillips à son neveu Jacob Serias gentilhomme de New-York. Il mentionne que la veuve demeure à William Henry (Sorel) et ainsi que son neveu Jacob, est nommé exécuteur testamentaire de feu Nicholas Bayard maire de New-York apparenté avec les Phillips, 24 octobre 1818 notaire Henri Crebassa».
La veuve Angélique Reaume Welles Phillips est marraine de son arrière petite-fille, Angélique Saint-Martin, fille de Sauveur et Angélique Welles, née 17 juin 1823 à Sorel. (Archives St-Pierre-de-Sorel aux A.N.Q.)
John Kent Welles a concédé à sa mère veuve Angélique Reaume Welles Phillips un lot, le 24 avril 1824 notaire Henri Crebassa. Dans un autre document daté du 29 mai 1825 à la requête de son fils James Kent Welles écuyer agent pour la Seigneurie de Sorel à Jean Olivier Arcand arpenteur des lots 298-299 appartenant à la veuve Welles Phillips« un terrain sur la rue Georges au côté nord, j’ai mesuré sur la dite rue 62 pieds de terre appartenant à Édouard Hayden et à l’est un terrain donné par le gouvernement colonial de cette province pour la bâtisse de l’église entre lesquels terrains et en profondeur 248 pieds et le dit terrain ainsi appartenant à la veuve Angélique Réaume Welles Phillips».(Archives nationales du Canada). Angélique Réaume Welles veuve de Samuel Phillips est décédée 19 mars 1826 et inhumé le 22 mars à Sorel Catholique
<<26 mars 1826, Je prêtre soussigné on inhumé dans l’Église de cette paroisse du côté de l’épitre le corps de Dame Angélique Françoise Rhéaume veuve Samuel Phillips écuyer décédée le 19 mars du présent âgée de 75 ans et 4 mois et reçues les sacrements de secours de l’église furent présent l’honorable James Cuthbert, Louis Marchand, Pierre Grisé, Joseph Bondy plusieurs autres signés.
James Cuthbert
P Grisé
A Rochefort
L Marchand
L Lamothe prêtre >> (Archives St-Pierre-de-Sorel aux A.N.Q.)
John Kent Welles est né en décembre 1771 ou janvier 1772 à Québec, fils de John marchand négociant et Angélique Réaume. Après la mort de son père en décembre 1780, il est pris en charge par son oncle Amable Réaume Bourgeois de Québec. Il a demeuré avec son beau-père Samuel Phillips et sa mère Angélique Réaume Welles jusqu’à sa majorité dans la ville de Québec. John Kent Welles a eu deux filles, Angélique née en 1800 et Agathe née en 1803 à St-Joseph au Québec. On ne connait pas l’origine et ni le nom de la mère des enfants. Dans un contrat de procuration par Marguerite Réaume fille (d’Alexis et Luce Orillat) à son cousin John Kent Welles devant le notaire Bélanger, «Welles est reconnu comme étant écuyer et négociant de la ville de Montréal. Sa cousine Marguerite lui donne plein pouvoir pour l’administration de ses biens et des dettes encourus par son père feu Alexis Réaume et sa mère feu Luce Orillat dans sa succession, le 6 novembre 1806». Le beau-père de Welles, Samuel Phillips écuyer et greffier est tombé malade. Il a nommé son beau-fils John Kent Welles pour le remplacer comme Assistant du Député greffier pour agir en cette qualité à la table de la Chambre d’Assemblée, durant l’absence temporaire du Greffier, mercredi 3 février 1808. John Kent Welles a été le successeur de Robert Jones comme agent seigneuriale et maître de casernes de William Henry, 17 août 1811. John Kent Welles a été le parrain de sa petite fille Angélique Saint-Martin, fille de Sauveur et Angélique Welles, née 17 juin 1823 à Sorel. John Kent Welles est décédé le 14 mars 1846 et inhumé 16 mars 1846 à Sorel Catholique à 75 ans.
<<16 mars 1846, Nous prêtres soussignés avons inhumé dans l’église de cette paroisse le corps de John Kent Welles écuyer ci-devant agent seigneurial décédé depuis 2 jours en cette paroisse âgé de 74 ans et deux mois en présence Daniel Vaughan, Robert Harrower, Narcisse Crebassa, Rodolphe Steiger, Edward Carter, Jean-Baptiste Mignault et plusieurs autres qui ont signé avec nous et non signé
Robert Harrower
Rodolphe Steiger
Daniel Vaughan
Jean-Baptiste Mignault
Narcisse Crebassa
Robert McAndrew
Curé Kelly>>.
Dans l’inventaire après décès de John Kent Welles, il est mentionné que Welles a fait un testament olographe et demeurant sur la rue Prince près du Parc Royal à Sorel.
«Je soussigné John Kent Welles déclare que ci après suivent mes dernières volontés. Je désire mourir dans le sein de l’Église Romaine dont je suis membre. Je désire qu’après mon décès mon corps soit décemment inhumée le plus simplement je désirais être mis dans l’Église auprès de ma bonne mère me reposant la dessus sur mes exécuteurs testamentaires. Après mes dettes payées et mes torts réparés s’il en existait quelques uns. Je donne et lègue à mon filleul Gordon John MacArdle et Marguerite Livernois tout ce qui pourrait rester de ma succession pour lui être appliqué en la manière que mes exécuteurs testamentaires trouveront la plus convenable. Je nomme pour exécuter mes dernières volontés. Messire Jean-Baptiste Kelley prêtre le curé de Sorel, Robert Harrower écuyer agent de bateaux à vapeur de John Molson et John Crebassa écuyers tout trois résident dans le Bourg de William Henry lesquels je prie bien de vouloir me rendre se service. Fait sous seing et sceau à William Henry le 15 juillet 1839. Signé John Kent Welles passé devant le notaire Crébassa, 18 mars 1846».
John Kent Welles n’a pas de garçon mais deux filles Agathe et Angélique Welles.
1- Agathe Wells née -1803+ à Saint-Joseph au Québec et mariée à Antoine St-Martin 20 août 1822 à Sorel. Elle est décédée 29 décembre 1882 et inhumée 26 septembre 1882 à Sorel.
<< 20 août 1822, après la publication de 3 bans de mariage faite en cette paroisse par 3 dimanches consécutifs entre Antoine Saint-Martin cultivateur fils mineur de Pierre et Thérèse Hus de cette paroisse d’autre part et Agathe Welles majeure aussi de cette paroisse d’autre part n’étant d’aucun empêchement n’appartient quelconque de ce mariage nous prêtre soussignés vicaires reçu leur mutuel consentement de mariage avec l’agrément des parents attenant donne la bénédiction nuptiale suivant la forme présente par Notre Mère la Saine-Église Catholique Romaine être en présence de Antoine Saint-Martin père de l’époux Clément Ethier témoin et de Jean Kent Welles père de l’épouse de Jean-Baptiste Saint-Martin témoin plusieurs autres parents et amis et ainsi dont les uns signés avec les autres ont déclaré ne savoir signé
John Kent Welles père
Agathe Welles soeur
Alexis Cardin
Cusson prêtre>>
Enfants :
1-Marie Sophie St-Martin b 28 mars 1824 à Sorel parrain John Kent Welles son grand-père et sa marraine Sophie Kelly
2-Pierre St-Martin b 22 octobre 1826 à Sorel parrain François Chevalier et sa marraine Félicité Saint-Martin
3-Félix St-Martin b 9 janvier 1830 à Sorel parrain Jean-Baptiste Saint-Martin et sa marraine Françoise Cournoyer
4-Bruno St-Martin b 31 décembre 1831 à Sorel parrain Étienne Péloquin et sa marraine Marie-Anne Saint-Martin
5-François Xavier St-Martin b 1 décembre 1833 à Sorel parrain Pierre Cardin et sa marraine Richarde Duplessis
6-Narcisse St-Martin b 1 octobre 1836 à Sorel François Lange et sa marraine Aurélie Beaugrand dit Champagne
7-Scholastique St-Martin b 19 octobre 1839 à Sorel parrain François Ethier et sa marraine Marie-Anne Saint-Martin
8-Angèle St-Martin
Agathe Welles femme d’Antoine St-Martin cultivateur a vendu à John Polworth le lot 485 situé sur la rue Victoria dans le bourg de William Henry. Elle savait signer son nom et le contrat passé devant le notaire Narcisse Crebassa, 17 octobre 1840.
2- Angélique Welles née -1800+ au Québec mariée à Joseph ou Sauveur St-Martin 20 août 1822 à Sorel.
<< 20 août 1822, après la publication de 3 bans de mariage faite en cette paroisse par 3 dimanches consécutifs entre Sauveur Saint-Martin cultivateur fils mineur de Pierre et Françoise Péloquin de cette paroisse d’autre part et Angéliques Welles majeure aussi de cette paroisse d’autre part n’étant d’aucun empêchement n’appartient quelconque de ce mariage nous prêtre soussignés vicaires reçu leur mutuel consentement de mariage avec l’agrément des parents attenant donne la bénédiction nuptiale suivant la forme présente par Notre Mère la Saine-Église Catholique Romaine être en présence de Pierre Saint-Martin père de l’époux Clément Cournoyer témoin et de Jean Kent Welles père de l’épouse de Jean-Baptiste Saint-Martin témoin plusieurs autres parents et amis et ainsi dont les uns signés avec les autres ont déclaré ne savoir signé
John Kent Welles père
Angélique Welles soeur
Alexis Cardin
Cusson prêtre>>
Enfants :
1-Angélique née 17 juin 1823 à Sorel son parrain John Kent Welles son grand-père et sa marraine arrière-grand-mère Angélique Rhéaume (veuve deuxième mariage de Samuel Phillips en 1808 et veuve premier mariage John Welles en 1780).
2-Julienne née 19 juin 1825 à Sorel son parrain Charles Saint-Martin et sa marraine Marie Saint-Martin. Elle se marie à Maxime Joly 5 octobre 1841 et en deuxième noce à Pierre Aubuchon 6 septembre 1851
3-Jude né 28 octobre 1827 à Sorel son parrain Étienne Péloquin et sa marraine Marguerite Saint-Martin
4-Norbert né 29 août 1830 à Sorel son parrain Athanase Mandeville et sa marraine Olive Saint-Martin
5-Geneviève née 16 mars 1833 à Sorel son parrain Louis Millet et sa marraine Geneviève Cardin. Elle se marie à Cyrille champagne 16 octobre 1849 à Sorel
6-Lucie née 23 juin 1836 à Sorel son parrain Alexis Péloquin et sa marraine Marguerite Gauthier. Elle se marie à François Langevin (né 3 octobre 1826 à Sorel fils de Jean-Baptiste et Agathe Cournoyer) et son marie décède en août 1876 à Hastings Ontario. Lucie est décédée le 29 septembre 1907 à Hastings Ontario
En 1881, Angélique Welles femme de feu Sauveur St-Martin s’en va demeurer avec sa fille Lucie marié à François Langevin à Hastings Ontario.
En conclusion, je n’ai pas retracé le lieu de naissance de John Kent Welles et la date de son mariage ainsi que le nom de sa conjointe. Tout laisse croire qu’elle serait d’origine amérindienne. Dans le recensement de 1852 à Saint-Pierre de Sorel, on mentionne qu’Agathe Welles est née à Saint-Joseph au Québec. Je n’ai pas celui de sa sœur Angélique Welles car le recensement de 1852 de la ville de Sorel est manquant.
Louise Pelletier recherchiste et historienne.
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