
PATRIMOINE PALÉOGRAPHIE – Louis Giguère et Pierre Petit dit Gobin PAR LOUISE PELLETIER
16 novembre 2020
Noel avec Louise Pelletier historienne-recherchiste
1 décembre 2020Ralph Gunhouse Constance Baril Saint-David de Yamaska par Louise Pelletier

Ralph Gunhouse et Constance Baril
Saint-David de Yamaska
par
Louise Pelletier – historienne recherchiste

Ralph Gunhouse Constance Baril Saint-David de Yamaska
1er.Ralph Gunhouse est né 1805/1806 Belton Axlolme et baptisé le 5 janvier 1806 à Lincolnshire Angleterre, fils de William Gunhouse agriculteur et Martha Wood. Il se marie à Constance Baril le 7 mai 1844 à l’église protestante de St-Francis d’Odanak. On ne sait rien des parents de la jeune fille sauf qu’elle est née dans le comté de Berthier 23 septembre 1813 de religion catholique. Les témoins au mariage sont Jonathan Wurtele, Archibald C Wurtele et Louis Wurtele.
Un contrat de mariage fut passé devant le notaire Benjamin Therrien.
On mentionne dans le dit contrat du 6 mai 1844 « Ralph Gunhouse jardinier résident à la rivière David garçon majeure, et de Constance Baril fille majeure, en présence des témoins amis(es)Marie Boucher témoin de l’époux et Marie Parenteau témoin de l’épouse. Il n’y aura point de communauté de biens entre eux…Il est encore expressément convenu que les enfants pourraient naître du présent mariage s’ils ne sont pas tous élevés dans la religion de leur père c’est-à-dire de l’Église Anglicane devront être élevés comme suit savoir les garçons dans la religion anglicane et les filles celle de l’Église Catholique Romaine… Fait et passé à la Rivière David dans le manoir seigneuriale les époux et les témoins ne savent signer en présence des notaires G P Peltier et Benjamin Therrien».
Sa carrière militaire
Ralph Gunhouse était Grenadier de la garde H. In. de 1827 à 1843. Voici à quoi ressemblait un grenadier au Canada
Grenadier du 24th (the 2nd Warwickshire) Regiment of Foot, 1840.
Ce grenadier porte la grande tenue d’été. Des pantalons blancs étaient portés en été et des pantalons gris ornés de passepoils rouge foncé en hiver. Un détachement du 24th Foot participa a participé au combat de Saint-Denis en novembre 1837. Les corps de milice incorporés levés au Canada durant 1837-1838 avaient un uniforme similaire, sauf que le collet et les parements des Canadiens étaient bleu foncé au lieu de verts. (Bibliothèque du MDN)
Son établissement dans la seigneurie de Jonathan de Würtele de St-David de Yamaska
Concession Jonathan lot 2
Un contrat d’achat d’une maison de Ralph
Gunhouse qui appartenait à Henry Buteau, le 30 mars 1844. Je cite «Un emplacement de concession situé en la seigneurie de Bourg Marie de l’Est dans le village de la Rivière David a désigné sous le numéro 2 du côté nord ouest de la route de StNicolas et faisant partie de la terre no 12 de la concession Jonathan de la contenance de 72 pieds de front sur environ 240 pieds de profondeur tenant devant la route St-Nicolas par-derrière les héritiers Wurtele d’un côté sud-ouest à l’emplacement no.1 de la fabrique et d’autre côté au nord-est no.3 non concédé, avec l’ensemble les maisons, boutique de tannerie et autres dépendances dessus érigées.» notaire Benjamin Therrien, 30 mars 1844
Concession Jonathan lot 2
Un contrat de vente la maison Ralph Gunhouse jardinier et dame Constance Baril au Seigneur Jonahtan Wurtele 34 mars 1847.Je cite «Un emplacement de concession situé en la seigneurie de Bourg Marie de l’Est dans le village de la Rivière David a désigné sous le numéro 2 du côté nord ouest de la route de St Nicolas et faisant partie de la terre no 12 de la concession Jonathan de la contenance de 72 pieds de front sur environ 240 pieds de profondeur tenant devant la route St-Nicolas par-derrière les héritiers Wurtele d’un côté sud-ouest à l’emplacement no.1 de la fabrique et d’autre côté au nord-est no.3 non concédé, avec l’ensemble les maisons, boutique de tannerie et autres dépendances dessus érigées.» notaire Jean-Baptiste Commeau.
Concession Sainte-Charlotte lot 38
Un contrat de vente par Jonathan Wurtele à Ralph Gunhouse cultivateur, 29 janvier 1848.
Je cite «une terre et concession sise en la Seigneurie de la Rivière St-David le lot 38 dans la 13ième concession Sainte-Charlotte de la contenance de 2 arpents et 4 perches de front sur environ quinze arpents de profondeur tenant par-devant du cordon qui divise la concession St-Édouard de celle de Ste-Charlotte sus-dite d’un côté vers le nord est à Jean-Baptiste Duhamel et d’autre sud-ouest au Domaine non concédé» notaire Benjamin Therrien.
Concession Sainte-Charlotte lot 38
Un contrat de vente par Ralph Gunhouse cultivateur de Saint-David à Louis Parent junior, 17 mars 1853. Je cite «une terre et concession sise en la Seigneurie de la Rivière St-David le lot 38 dans la 13ième concession Sainte-Charlotte de la contenance de 2 arpents et 4 perches de front sur environ quinze arpents de profondeur tenant par-devant du cordon qui divise la concession St-Édouard ou St-Paul de celle de SteCharlotte sus-dite d’un côté vers le nord est à Cléophas Proulx et d’autre sud-ouest au Domaine non concédé sans aucune bâtisse dessus érigé mais avec le bois d’une charpente de maison qui restera dessus»
notaire Jean-Baptiste Commeau.
Son établissement dans la seigneurie de Bonaventure Township d’Upton
Une obligation par Ralph Gunhouse cultivateur de Saint-Bonaventure à Jacques Bonin dit Dufrêne cultivateur de la paroisse de SaintDavid, 12 octobre 1857. Je cite « Acceptant créancier la somme de 25 livres pour une jeune pouliche son poil blond …hypothèque une terre dans le dit township d’Upton dans la paroisse de Bonaventure étant le lot 21 de la contenance de 3 arpents de front sur environ de 33 arpents de profondeur tenant par devant à la rivière Saint-François par derrière au terrai de J Grant écuier d’un côté tout le nord ouest à François Thibeault et d’autre côté au sud est à Joseph Verrier ensemble une maison et autres dépendances dessus érigés» notaire Jean Baptiste Commeault
Mort accidentelle
LA GAZETTE DE SOREL, 28 MAI 1861
DÉCÈS LE 24 MAI 1861
Un malheureux accidentellement de jeter l’émoi dans le village de St-David, comté Yamaska. Un ancien grenadier de la garde, du nom de Ralph Gunhouse, cultivateur de la paroisse de St-Bonaventure et autrefois employé aux services de Josias Wurtele écuier, seigneur du dit lieu, vient d’être victime de sa loyauté souveraine, vendredi dernier, jour de la naissance de la fête de la Reine ce brave grenadier arriva au manoir de St-David de grand matin il venait régulièrement tous les ans à pareil jour faire entendre quelque salve en l’honneur de sa bien aimée souveraine vers 3 heures de l’après-midi et commença à tirer avec un gros canon de 6, pendant qu’il chargeait son canon pour la sixième fois, le coup porte accidentellement il tenait dans ses mains une grosse baguette de frêne et achevait de bourrer le canon, le choc fut si rude que ses mains deviennent en lambeaux et ses deux bras furent broyés à trois endroits; le malheureux fut renversé et alla tomber à plus de 20 pieds au canon, on le releva aussitôt mais il était sans connaissance. Une heure après ayant repris reconnaissance la première parole avec un calme extraordinaire fut celle-ci, < mon canon est-il crevé ? > à une réponse négative il répondit, tranquillement <Très bien>. On le transporta de suite au manoir; des médecins furent appeler, mais ils ne crurent pas prudent de tenter l’amputation des bras, dans l’état du pauvre malheureux était pénible, en effet il expira environ 5 heures plus tard l’accident dans de grandes souffrances. Le coroner du district fut appelé, et après l’enquête il rendit un verdict de mort accidentelle. (Tiré textuellement de la Gazette de Sorel du 28 mai 1861).
Certificat de décès de Ralph Gunhouse 24 mai 1861
Acte 2920, église anglicane Christ Church Sorel Ralph Gunhouse fermier de la paroisse de StBonaventure dans le comté de Drummondville soldat de la garde des grenadiers âgé de 56 ans et décédé accidentellement par un boulet de canon devant la maison de Jonathan Wurtele écuier le 24 mai 1861 et enterré dans le cimetière de Cedar Point de la paroisse de la rivière de David, le 27 mai 1861. Révérend W Anderson en présence de J Wurtele et A C Wurtele
Testament de Constance Baril 4 décembre 1867
Constance Baril veuve de Ralph Gunhouse résident à St-Guillaume d’Upton résidente actuellement dans la paroisse de St-Bonaventure malade de corps mais simple d’esprit, je lègue à mon gendre Charles Chainé et ma fille Marie Gunhouse immeubles et meubles dans la paroisse de St-Bonaventure de conserver les dits biens après leur décès respectif tous leurs enfants à naitre leur fille et petite fille de la dite testatrice jusqu’au dernier vivant des biens …. En présence de Théophile Lemoine, D Yergeau et de la testatrice ne savoir signer notaire Thomas Théodore Rivard.
Départ pour les Etats-Unis
Constance Baril veuve Gunhouse quitte le Canada avec sa fille Marie et son gendre pour les États-Unis. Dans le recensement de 1870, on la retrouve travaillant dans une filature de coton dans la ville de Pembroke dans le comté de Merrimack dans le New Hampshire.
Retour pour le Canada
Constance Baril veuve Gunhouse revient avec sa fille et son gendre au Canada. Dans le recensement de 1881, elle demeure dans la paroisse de Saint-Bonaventure dans le comté de Drummondville.
Certificat de décès de Constance Baril 23 septembre 1891
Acte 16, église catholique Bonaventure
Nous avons inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps de Constance Baril épouse de feu Raphaël Ganasse décédée l’avant veille âgée de 68 ans et ainsi présente à l’inhumation Charles Chesnaye et Alexandre Hamel qui ne savent signer lecture faite Édmond Grenier
prêtre
2ème génération Marie Gunhouse
Certificat de baptême 21 décembre 1845
Acte ?, église catholique de Saint-David de Yamaska
Constance Baril et Ralph Gunhouse ont eu une seule fille Marie Louise Gunhouse baptisé 21 décembre 1845 à St-David de Yamaska …le père a déclare ne savoir signe illisible.
Certificat de mariage 3 mars 1862
Acte 10, église catholique de Saint-Guillaume
Le 3 mars 1862 après la publication de 3 bancs entre Charles Chenay cultivateur fils majeur de défunte Charles Chenay
cultivateur et Félice Pinard de la paroisse de St-Bonaventure d’une part et Marie Gunhouse fille de défunte Ralph Gunhouse
et Constance Baril de la paroisse de St-Bonaventure du côté de l’époux de Joseph Trudel oncle et du côté de l’épouse Patrick
Mullin, François Martel, François Cantara amis et ne savent
signer. Nap G
Certificat de décès 22 novembre 1923
Décédée le 22 novembre 1923 – Drummondville, Québec, à l’âge de 77 ans. Je n’ai pas le certificat loi sur la confidentialité.
En conclusion, je n’ai pas trouvé la date de la traversée de Ralph Gunhouse pour le Canada. J’ai consulté tous les documents militaires des soldats rien trouvé. Je crois qu’il serait parti de Lincolnshire vers 1840 pour le Canada. Au sujet de Constance Baril, je n’ai pas trouvé le nom des parents car ils sont manquants dans les documents. Louise Pelletier recherchiste
Réminiscences d’un manoir seigneurial par un octogénaire
Dans un livre ou manuscrit écrit pas Louisa Wurtele Rankin «Rémanence d’un manoir seigneurial par un octogénaire» Ce livre est très rare et ne fut trouvé par personne sauf certaines pages remises à Glen Gunhouse. Il aurait été écrit de 1910 à 1928 d’après la date de naissance de l’auteure le 30 janvier 1838 à Saint-David et de décès en 1928 à Montréal. Elle raconte sa vie au manoir seigneurial de son père Jonathan Wurtele seigneur de Saint-David de Yamaska. Une partie du manuscrit est celle de Ralph Gunhouse.
Wedding Bells
Tout à côté, mais un peu à l’arrière du manoir de la rivière David, dans la province de Québec dans les premières décennies du siècle dernier [le début des années 1800] se trouvait une vieille maison de ferme qui avait évidemment été érigé ans avant que le manoir et avec dont il a ensuite été relié par un couloir couvert. Il a été utilisé comme une cuisine à l’extérieur et a également été mise de côté en tant que trimestres pour l’utilisation des ouvriers sur le terrain et de nombreux ouvriers agricoles qui travaillaient à la maison, ferme ou Domaine.
Au premier rang de ces hommes était un Anglais du nom de Ralph Gunhouse, que mon père l’avait engagé comme surveillant et jardinier en chef. Il était un ancien soldat qui avait fait son temps dans l’armée britannique et a reçu ses papiers de décharge, dont il s’est souvent montré avec fierté. Il a été beau, coloré, blond, aux cheveux grands, et faisait penser à du roi Henry VIII.
La cuisine à l’extérieur a été en charge d’un ménage canadien-français au service appelé Constance – pas trop jeune et pas du tout beau – qui faisaient la cuisine pour les hommes, cuit le pain de ménage, et a contribué aux travaux de blanchisserie et d’autres fonctions de l’établissement. Elle a gardé la parole grande cuisine bien nettoyée et saupoudrés de sable, et cuit des pots appétissants de la soupe aux pois sur le grand poêle en fonte qui complétait la cheminée ouverte, où de grosses bûches de bois brûlé dans l’occasion Gunhouse ne pouvait pas parler un mot de français, ni ne pourrait Constance parler un mot d’anglais, mais petit dieu Cupidon a constaté que ce n’était pas un obstacle à l’amour et actuellement ils ont décidé de se marier, tout en conservant leurs positions dans le ménage. Constance, bien sûr, était un catholique, et ses gens d’abord soulevé des objections à épouser un protestant, mais ceux-ci ont été surmontés par la considération que Gunhouse était « un bon parti » et aussi « un bon garçon » et Constance pourrait rester » Une vielle fille. Donc, le consentement est donné par ses parents [et] en temps utile, ils sont venus pour mener le couple à l’église où le mariage devait avoir lieu. Je me souviens avoir vu, avec émerveillement enfantin, la mariée vêtue de son mieux, assise en pleurant dans la grande cuisine, avant de quitter la maison avec son fiancé gay à monter dans une calèche, entraînant une cavalcade d’autrui, à travers le village de Pierreville, loin eleven miles à une église protestante peu dans les Abénaquis, [par] les Indiens Pastor (chef de la tribu), qui a été appelé indifféremment « MASTAS » ou « O-Sunker-Hone [= Osunkhirhine]. » * Il avait été élevé dans certains American College [Dartmouth] et était célèbre pour avoir traduit la Bible en langue des Abénaquis.
Les festivités d’habitude à un Canadien français « Noce » a eu lieu sur le retour de la noce, et le soir la grande cuisine était remplie d’une foule joyeuse de danseurs. Ce fut toute une grande affaire, sans qu’il y ait moins de deux violoneux au discours douce musique à la société et le plaisir courait vite et furieux. J’étais terriblement désolé de ne pas être autorisés à y participer, mais on m’a dit que ce n’était pas bon pour « Une petite demoiselle » et j’ai été envoyé au lit à l’heure habituelle, très triste, avec les souches joyeuse des deux violoneux bourdonnements mes oreilles. J’ai toujours aimé les sons d’une musique de violon dès mes premières années, et j’avais juste huit ans à l’époque.
Constance était un Canadien français typique de la période en regard et tenue vestimentaire. Elle portait toujours le costume habituel des «créatures», comme les femmes canadiennes-françaises ont été appelées, qui consistait en une jupe « » ou de la chemise de l’indigo bleu foncé bure étoffe du pays »et d’un mantelet », « ou à la taille, de Indienne ( ce mai toujours être le nom de Calico, la dérivation des deux noms pour les matériaux [étant] très lisses [ment] de «Calcutta» et l’Inde). Elle préférait de beaucoup d’aller pieds nus, mais après son mariage, dès que Gunhouse apparu sur la scène, il criait « Custinse! Allez mettre vos chaussures, et Custinse volerait et obéir à son seigneur et maître. Elle l’appelait «Gunausse » et il l’appelait «Custinse.
Custinse et Gunausse vécu avec nous, heureusement pour un certain temps et ensuite dans une petite maison qui leur est propre dans le village, et plus tard d’une ferme qu’ils avaient acquis environ dix miles away, sur la rivière Saint-François, mais chaque dimanche amende, Gunhouse serait le clochard dix miles à passer le dimanche dans notre maison et de rejoindre le service religieux dimanche, mon père avait l’habitude de mener pour sa famille, et après un bon dîner dans la vieille cuisine, il aurait piétinement vers son Custinse et sa petite fille Marie, leur unique enfant, qui, cependant, avait sans doute se réfugié dans le plus proche de l’Église catholique.
Un minuit de célébration la veille de nouvelle année La scène de mes souvenirs doivent maintenant changer dès les premiers jours de Gunhouse et Constance aux divertissements d’hiver à minuit au clair de lune dans un paysage de neige vêtus, au cours de laquelle a eu lieu Gunhouse invariablement [?].Non loin de la maison, sur une petite colline, a été placé un drapeau de haut-pole, du haut d’un drapeau qui flottait dans le vent tous les dimanches matin, sur des anniversaires et autres occasions de réjouissance.
A proximité se trouvait un vieux canon monté sur sa voiture, qui a été congédié pour assister à diverses célébrations au moment prévus par la manipulation de Gunhouse vieux. Il n’y avait rien le vieux soldat aimait mieux que de tirer au large que les canons antiques, et réglez les échos sauvages volent jour ou la nuit (de préférence à New Year’s Eve), pour accueillir la nouvelle année.. Je ne sais ni quand ni où ce canon est venu, il a toujours été là depuis que je pouvais me souvenir.
Le soir du réveillon du Nouvel An tous les gars du village qui pouvaient se rendre ou emprunter une arme à feu ont été invités à assister aux célébrations en tirer un « feu de joie » après le canon avait poussé son salut à la nouvelle année. Ils sont venus avec joie, quelle que des explosions amer de Borée vieux et se réfugie dans l’intervalle où ils ont dansé au son de l’accordéon ou airs joyeux effectuée sur un orgue à bouche. Ils chantaient des chœurs et des exposés faits [de?] Prouesses jusqu’à l’heure du crime s’approcha et Gunhouse les somma de suite, à prendre leur place, dans une rangée, à côté du canon. Ce fut le silence et l’attente, jusqu’à ce que le son d’une cloche de la maison a annoncé que l’heure de minuit était arrivé. Puis, après une grande vague d’une torche à la main Gunhouse, le canon donna sa forte détonation, le flash d’éclairage financièrement le paysage et Gunhouse crier fort pour les hommes armés d’attente, « Make Ready! Présent!
Feu!. et un popping erratiques des armes à feu ont suivi. Ensuite, il a soulevé la crier « Vive la nouvelle année. Three Cheers for the Queen » – tous pleins poumons donné avec vin et l’accent. Puis vint un chœur de « Happy New Year » « Bonne Année», après quoi il y avait une retraite précipitée dans l’enceinte chaleureuse de la cuisine, où ils ont été mobilisées actuellement dans le couloir couvert dans la salle à manger du château, où ils ont été reçus par le Seigneur et Seigneuresse.
Félicitations et meilleurs vœux ont été échangés, des rafraîchissements composé de pain d’épices, beignets, vinaigre de framboise, café et petits pains ont été servis. Enfin, les jeunes Bade bonne nuit à leurs hôtes et…ils ont tous fait leur chemin dans leurs foyers respectifs, dans le village, le matin gris et froid de Janvier jour.
La tragédie du jour d’un été
Plusieurs hivers et des étés doit avoir disparu, avec ses joies et ses peines, puisque les derniers événements, dont j’ai parlé, a eu lieu à la veille du froid glacial de l’an, dans ce monde comique et le tragique se succèdent rapidement.. Mes souvenirs de cette époque sont [d ‘] un beau jour, en début d’été, quand le soleil brillait dans un ciel sans nuages, sur une terre verte, le temps étant le 24 Mai, la fête de la Reine Victoria. Il est dit que « un non-sens peu maintenant et est ensuite goûtée par les hommes les plus sages, » et je ne peux m’empêcher de citer un couplet des enfants d’école utilisés à crier à pleins poumons l’effet que «Le 24 Mai, c’est l’anniversaire de la Reine et si nous n’obtenons pas un jour férié, nous allons tous pris la fuite « et il a toujours été un séjour idéal pour petits et grands.
En cette occasion particulière, il devait y avoir un salut royal tiré exactement à midi, à partir du vieux canon, et le nombre habituel de personnes du village étaient rassemblés pour participer à la célébration, et de montrer leur loyauté par de nombreuses hourras et des cris de » Vive la reine », et Gunhouse, maintenant passé l’âge mûr, a été comme d’habitude d’être maître de cérémonies.
Un certain nombre de spectateurs étaient assis sur les galeries du manoir pour voir la procédure. Dès que la cloche de l’église du village avait cessé de sonner l’Angélus de midi, le canon a commencé ses rapports, et nous avons compté jusqu’à cinq, quand un sixième rapport de suivi de trop brusquement, puis nous avons réalisé que quelque chose de fâcheux ne s’était passé.. Un grand cri d’horreur et de détresse provenait la foule à côté du canon, pour Gunhouse pauvre avait fait une erreur terrible. Dans l’excitation du moment, il avait percuté par une charge de poudre sans d’abord l’écouvillonnage à l’intérieur du canon, en conséquences, l’explosion a eu lieu immédiatement, et la baguette avec laquelle Gunhouse poussait dans l’accusation a été conduite dans sa poitrine, lui infligeant une blessure mortelle.
Le formulaire de mutilés pauvres a été réalisé au plus proche chalet, et le médecin qui a été convoqué faisait tout son possible pour aider le pauvre vieux, mais la fin n’a pas été longue à venir. Instinctivement, la douleur des badauds se tourna dans la colère au canon inconscient. Le jeune seigneur du manoir a déclaré que « jamais plus il devrait pousser sa voix, par bonheur ou malheur».. Il a été descendu de sa voiture, porté à un voisin bûcher, et jetés dans un coin, où depuis quelques années, je l’ai vu couché encore, à moitié couvert avec de la sciure, des copeaux et autres débris de l’endroit. Peut-être après de nombreuses années il a été sorti pour donner la parole à des réjouissances, au cours d’une victoire politique, ou quelque chose de ce genre.
Au cours d’une journée ou deux, un cortège funèbre portait Gunhouse pauvre vieux à un beau cimetière de la famille, où il a été mis au repos, à l’ombre des cèdres qui ont donné leur nom à l’endroit.
Paix à ses cendres
Par Louisa W Rankin
Références
1-http://touscousins.geneanet.org/contact/leej49/Lee-Johnson
2-http://gunhouse.tripod.com/surname/lincspr.htm/Glenn Gunhouse
3http://www.genogold.com/frodingham/frodingham.php?search_fd0=Gunhouse%2A&multisearch_fd0=9
&multisearch_fd1=9 Jane Samson
4-http://freepages.family.rootsweb.ancestry.com/~corbeil/
5-Registre de St-Francis Odanak, 7 mai 1844 A.N.Q.
6-Recensement de Saint-David de Yamaska 1851 A.N.O.
7-Notaire Benamin Therrien 6 mai 1844 A.N.Q.
8-Passerelle pour l’histoire militaire canadienne www.cmhg-phmc.gc.ca
9-Notaire Benjamin Therrien, 30 mars 1844, acte 2843, A.N.Q.
10-Notaire Jean-Baptiste Commeau 34 mars 1847, acte 214, A..N.Q.
11-La Gazette de Sorel 28 mai 1861 SHPSP
12-Notaire Théodore Thomas Rivard 4 décembre 1867, acte ,A.N.Q.
13-Recensement américain 1870,
http://search.labs.familysearch.org/recordsearch/start.html#p=collectionDetails;c=1438024
14-Recensement de Saint-Bonaventure 1881 A.N.O.
15-Réminence d’un manoir seigneurial par un octogénaire par Louise Sophia Campbell Wurtele
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